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Par le regard le 3 Juin 2018 à 13:11
Vous ne connaissez rien des bains de minuits
Des lumières discrètes qui font des ombres bleues-vertes
Au bassin olympique chlorifié
Vous ne savez rien des pas clapotants et de leurs pointes silencieuses
Du frisson de l'interdit comme de celui de la
Peau en contact avec le froid de la grande eau
Vous ignorez tout de ses bras traversant le miroir tranquille
Du regard
Qu'une fois les pieds dans l'eau elle lui jeta
Le souvenir préfère taire la pression de ses bras enlaçant sa taille
Et le léger tremblement de la contraction dissimulée
De son torse
Alors la mémoire cache et
Feind de ne pas avoir remarqué
Le sourire charmeur et les prunelles incertaines
Je suis Alexandra et vous lisez mon blog
(Poème publié originellement sur mon compte Tumblr : wearyam.tumblr.com)
Bye
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Par le regard le 20 Octobre 2016 à 19:58
Nouvelles sur ma relation au végétarisme
C'est rare n'est-ce pas ? Très rare, extrêment rare que j'écrive 2 articles sur le même sujet, (surtout que j'en ai un sur le féminisme qui attend depuis un mois d'être publié), mais voyez-vous, je suis une passionnée investie et aujourd'hui, du moins, ces derniers temps, j'ai une nouvelle passion.
Cet article n'est pas du tout construit, malgré tout, toi, lecteur affamé de ma verbe, de mon style incomparable et de mes fautes d'orthographes rivalisant d'ingéniosité et faisant un énorme "fuck" au bescherelle, j'aimerais que tu ne passes pas ton chemin, et surtout que tu ne m'en veuilles pas si ça part dans tous les sens.
Depuis ma dernière analyse, au combien ratée, du végétarisme, beaucoup de chose ont changées. Si depuis, 5 minutes exactement, je ne trouvais pas mal de mangé des animaux, mon engagement c'est pas mal transformé.
Depuis 2 mois, (et cette fois-ci sera définitive) je ne mange plus de poisson et de crustacés.(Rapport au fait que suffoquer pendant des heures avant de mourir, ou être cuit vivant c'est de la torture, si, je t'assure. Va demander à Amnesty International.) Et depuis 3 semaines, plus de produits laitiers.
D'où vient ce profond changement me diras-tu ?
D'une vidéo.
J'ai appris ce que je pensais savoir. Bien-sûr, il ne m'était pas inconnue de la situation dans 80% des élevages/abattoirs. Mais je ne pensais pas que l'horreur arrivait à ce point, et je ne peux évoquer ces faits sans avoir les larmes qui montent aux yeux et un profond dégoût pour ma personne.
J'ai appris comment le lait été fait, c'est con, et affreusement honteux, mais pendant 15 ans je me suis bourrée la panse de fromage sans jamais me demander comment les vaches produisaient du lait 7j/7.
J'ai compris surtout. Compris pas mal de chose qui était incohérente avec ma manière habituel de penser. Comment pouvais-je me révolter contre le spécisme profond de notre population et continuer à dire à qui voulait bien l'entendre "que je ne pense pas que manger un animal soit mal" ?
J'ai compris il y a 5 minutes, pour cette dernière chose. Puisque depuis 3 semaines, je ne mangeais de la viande qu'une fois par semaine, plus si elle était bien abattue, me disant qu'ainsi, ma conscience serait soulagée.
J'ai compris il y a 5 minutes ce que je savais depuis si longtemps. Même élevé, abattue avec la plus grande douceur, voir leurs semblables disparaître du jour au lendemain, faits souffrir les animaux autant que cela nous l'aurait fait. Comment réagisseriez-vous si votre sœur était tué dans à semi-consciente, devant vos yeux ? (Fact intéressant : Saviez-vous que les vaches ont des meilleures amies ?).
Alors voilà, je continue, avec plus de détermination et les bons conseils de pas mal de gens, une transition que j'avais commencé, sans vraiment m'investir dans le plus important.
Le plus important, à mes yeux, est de rester tolérant.
Rester tolérant fasse à ceux qui continue en âme et conscience de manger de la viande, (après tout, le végétarisme n'est qu'une question d'éthique). Rester tolérant fasse à ceux qui ne comprenne pas ou ne savent pas. Ce n'est pas en leur gueulant à la fasse qu'ils sont des meurtriers, des esclavagistes etc... que la cause avancera. (Non Jihem Doe, non, juste non. Arrête s'il te plaît.) Expliquer, encore et encore, même si c'est fatiguant, à l'ami vexée que, non, ce n'est pas parce que tu veux faire ton "occidentale alter-mondialiste gauchiste hipsterisé à la noix" que tu refuses une part de son gâteau d'anniversaire. Enoncer des faits, sans juger, en restant bienveillant.
Enfin, et surtout, toi mon copain omnivore, n'oublie pas qu'essayer d'imposer un mode de vie qu'ils ont maintenant réprouvés ne fera que les froisser.
Sur ce, je vous dit à très bientôt,
Je suis Alexandra et vous lisez mon blog.
Bye
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Par le regard le 28 Juillet 2016 à 20:50Culpabilité et autres problèmes de conscience Salut mes chers lecteurs, ça fait un bail, non ? Cet article aurait pu se trouver dans la rubrique "My life" si elle existait encore, puisque pour changer (lol), je vais vous raconter ma vie. (Cette phrase fait très youtubeuse lifestyle ...) Voyez-vous, j'ai un problème, qui me ruine chaque jour de mon existence. Je me sens coupable, pour tout et n'importe quoi. Même pour les choses dont je ne suis pas responsable. Par exemple, la crise des migrants. C'est comme ça, je n'y peux rien.En général, j'arrive à vivre avec, trouvant rapidement des moyens pour me sentir impliquer dans ce problème, tenter de le régler comme je le peux, afin de soulager ma conscience. Depuis quelques temps, malheureusement, je n'arrive pas à me soulager d'un problème pourtant principal, pouvant changer radicalement ma manière de vivre. Le végétarisme. Globalement, j'aime les animaux. Les voir souffrir m'ai insupportable (comme toute personne ordinairement constitué, je pense), et je ne rechigne pas leurs compagnie. Cependant, comme une majorité de mes concitoyens, et certainement comme vous, je les consomme. Enfin, pas tous, puisque depuis toute petite, je refuse de manger du veau, de l'agneau, etc... (on tue pas les bébés, crotte !) Je me suis souvent demandé ce qui justifiait l'élevage et l'abattage d'animaux, ainsi que notre consommation. Traitons ces questions séparément. Tout d'abord la consommation en elle-même. Je dois vous l'avouer, l'idée d'un animal en abattoir ne m'émeut pas particulièrement. Tout comme je ne m’apitoie pas devant un lion tuant un zèbre. Et, si je me retrouvai dans une situation extrême, je n'aurais absolument aucune pitié à tuer un Panpan pour me repettre de sa chair. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'est naturel, tout comme notre besoin insensé de copuler. Quoi que nous disions, nous sommes des animaux, alors, si au cours de l'évolution notre manière de tuer à dépasser le stade des crocs et des griffes, il n'y a rien à blâmer. L'Homme à, par tous les temps, compensé ses faiblesses physiques par sa créativité (meurtrière, certes, mais impressionnantes tout de même). Ainsi, tuer un animal pour consommer sa chaire et faire du cuire de sa peau un joli bracelet de force ou de confortable chaussure n'est pas mal. Enfin, je ne le trouve pas mal lorsque l'animal a été élevé pour mourir. Puisqu'en bonne hypocrite que je suis, j'ai horreur de la chasse (et de la pêche dominicale). Pourquoi, au 21ème siècle, dans nos conditions de vie, aurait-on besoin d'embêter la maman de Bambi qui gambade dans les prés, alors qu'un steak nous attend chez le boucher du coin ? Cela nous mène à la deuxième question, et sa problématique principale, l'élevage. Comme je l'ai dit plus haut, l'Homme a très rapidement compris, qu'en vivant dans des communautés de plus en plus grande, la chasse au mammouth n'allait pas devenir chose aisée, surtout que, faut pas se leurrer, déménager tous les 3 mois, c'est chiant. Il se sédentarisa alors et inventa l'élevage. (Ce paragraphe n'a aucune valeurs historique, ne le montrais pas à un archéologue/antrhopologue, c'est juste pour illustrer l'idée.) Sauf que cette idée, simple comme tout, et au fond, assez inoffensive, (enfin, autant que le meurtre de milliers de poulet peut l'être), avec l'arrivée de notre société de consommation tout est vite parti en cacahuète. Le but n'était plus alors de bien se nourrir, mais de produire. Sans vraiment faire attention à ce qu'il y a derrière. Les animaux. Enfermés dans des cages minuscules, serrés les uns aux autres, vivant dans un stress constant jusqu'à leurs abattage barbare, ils sont bien vite devenus dans l'inconscient collectif, des hamburgers sur patte. Je pense souvent à la manière dont sont traités les animaux à la manière dont étaient traités les esclaves noirs. Considérés à l'époque justement comme animaux, ils étaient élevés, dressés pour servir l'intérêt de l'homme blanc. On forçait même ceux considérés comme les plus beaux spécimens, à se reproduire entre eux pour créer l'esclave parfait (afin de le revendre au meilleur prix) . Au 19ème siècle, glorieuse époque des colonies africaines, certains étaient même exhibé dans des zoos. Il en est de même pour les animaux. La création du parfait étalon est quelque chose d'anodin dans le milieu équestre. Les otaries, dauphins et autres être marins sont utilisés sans aucun scrupule comme divertissement dans les parcs aquatiques. Pourtant il a été démontré que les dauphins, ainsi que les orques avaient les mêmes comportements sociaux, la même sensibilité, et la même intelligence (si elle n'est supérieur), que les hommes. L'Inde a alors reconnu les dauphins comme des citoyens à part entière, non-humain ! Tout cela, notre comportement, sera certainement considéré comme une abomination dans quelques décennies. Tout comme l'est aujourd'hui l'esclavage. Car, au fond, le végétarisme n'est qu'une question d'éthique. Pour ma part, je continu à manger de la viande. Bien que ma consommation s'est vu modifié avec ce début de prise de conscience. Je ne mange plus dans les fast-food, tant que j'ai le choix, leurs moyens de production favorisant la maltraitance durant l'élevage et l'abattage. J'ai arrêté de consommer du poisson et des crustacés pendant un petit moment, avant de recommencer (oui, je sais, je suis faible)*, je ne veux plus utiliser certains produits testé sur les animaux (heureusement, en UE, des lois interdisent la majorité de ces tests, il est donc assez faciles de trouver des bon produits, cependant, les plus sûr sont ceux contenant la notion "cruelty-free) etc... Le plus dure, en tant que mineure ayant une vie sociale, est de ne pas embêter son entourage avec ses idées (ce que je fais mal, j'avoue) en respectant leur choix et leur manière de vivre (ce que je fais plutôt bien, je pense), sans leur imposer quoi que se soit. Et si ils sont tout particulièrement sympathique et obligeants, ils s'adapteront à votre manière de faire. Mais ça n'a rien d'obligatoire et vous ne devez en rien leurs en vouloir ! Enfin bref, c'est tout pour aujourd'hui, et certainement pour les prochains mois. Je suis Alexandra et vous lisez mon blog,Bye.Ps : *Par rapport à ma consommation de poisson et de crustacé, si ça vous intéresse de savoir, pourquoi diantre me suis-je remis à en consommer, allez voir dans les commentaires.
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Par le regard le 20 Octobre 2015 à 11:21
J'accuse !
Salut mes très chers lecteurs.
Dans cet article, nous allons aborder un sujet polémique, nous plonger au cœur de l'actualité européenne, alors, avant d'entrer dans le vif du sujet sans transitions, je tiens à vous prévenir qu'il ne s'agit là que de mon opinion et uniquement de mon opinion.
Je ne vous demande pas d'y adhérer, ce n'est qu'une exposition de mon point de vue. En rien, vous ne devez la considérez comme seule et unique vérité le sujet étant tout particulièrement complexe.
Nous pouvons commencer.
Ces derniers temps, un sujet en particulier revient régulièrement à la une des journaux.
Les migrations.
Que faire de ces Hommes n'ayant pour autre choix que de fuir au risque de mourir plutôt que de rester et de mourir ?
Comment les aider ?
Comment les dissuader d'entrer en Europe ?
Les opinions sont partagées, sur la manière de bloquer le flux, comme sur la manière de les aider.
Je vous invite à partager votre opinions (mais c'est pas obligé, hein).
A critiquer chacune de mes réflexions, à être objectif.
Le débat entraîne l'action.
Ps: Désolé pour le retard, l'article, on dirait pas comme ça, m'a pris du temps.
Je suis Alexandra et vous lisez mon blog
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Par le regard le 13 Juin 2015 à 23:17
Nous n'avons pas d'âme
Coucou mes fidèles lecteurs, ça vie, ça va, ça vou ?
Bon, on va commencer l'article par faire la différence entre âme et esprit. (Sinon, on va pas y arriver, et ils va me prendre des heures à être écrits).
L'esprit représente notre réflexion (on va essayer de la faire court). C'est un enchaînement de raisonnement, ce qui va déterminer nos actes futurs. L'Esprit est La Raison. (Oui, parce que pour moi les principes sont des personnes).
L'âme est quasi indéfinissable . On pourrait la décrire par notre profond ressenti, ce qui nous différencie de la bête. L' Ame est une artiste, capable de voir au-delà de nos réflexes primaires. L'Ame est le beau, l'absolue. La seule chose censé persister après notre mort.
Pourtant, nous n'avons pas d'âme.
(Ce qui va suivre risque de choquer certaine personne, non c'est faux, j'avais envie de mettre ça).
Scientifiquement, l'âme est un concept impossible. Un bébé ne naît pas avec une âme. Puisqu'il n'est capable de commencer à percevoir les choses que vers la fin (fin-milieu) de son séjour parasitaire. Or l'âme ne peut pas apparaître brusquement. (Prenez pour argumentations "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme")
Cela voudrait donc dire que nous développons une âme. Cependant, l'âme se basant sur le principe de l’innée, on change totalement (enfin un peu) de domaine. Nous ne posséderions donc pas d'âme, mais d'esprit !
(Personnellement, je ne crois pas du tout en la théorie de l'innée. Ce concept me semble impossible. Je sais que nous naissons tous des parties du cerveau plus performantes que d'autres, des connexions neuronales qui feront ceci..., mais à mon avis ont ne naît pas avec un talent. On le développe. On naît avec des aptitudes, c'est à nous seul de décider d'en faire ce que l'on veut. L'âme, elle au contraire, se base sur le principe qu'on naît avec un talent, et ça me dérange. ) (C'était vraiment une grande parenthèse).
Alors, qu'est-ce qui fait que nous ne nous comportons pas (totalement) comme des animaux ?
Simple question d'évolution. Ce qui nous différencie du règne animal, si j'ose dire, c'est notre capacité d'échanger des concepts, des idées, pour s'améliorer. Au début de l'Histoire, on était des tarlouzes ! (J'aime ce mot, il sonne bien). Seul notre capacité à interagir, à se regroupe, communiquer, nous a permis de faire la différence. Bon, il y a encore du boulot, (on est quand même la seule espèce qui détruit son environnement volontairement, et après on parle d'intelligence supérieur).
L'âme est donc, en suivant le résonnement, illusoire. Rien ne subsiste à notre mort.
Je dois tout de même vous l'avoué, j'adore l'idée d'une vie après la mort, et ne peux me résigner à laisser mon esprit génial en engrais.
C'est donc là que cet article sort du rationnel (on attaque ma partie préférée), ne devient plus qu'une montagne de "peut-être", une théorie des théories. Vous avez donc le droit d'arrêter de lire, de vous dire que je commence à avoir un esprit scientifique, que bientôt je vous expliquerai pourquoi Aristote était nul et que Blaise Pascal pesait un max.
A partir de cette limite, nous entrons dans le purement théorique.
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Partons du principe que les premiers Hommes n'avait pas un soupçon d'âme. Le temps passe, ils se perfectionnent, leur corps et leur cervelle évoluent. Un jour, un de ces messieurs meurs. Son cerveau lors de son dernier répit, en arrêtant de fonctionner va comme émettre un dernier soupir, utiliser tout son potentiels, 100% de ses capacités, il va créer l'âme. L'Ame ne serait donc que l'esprit, post-mortem (et indépendant).
(Ce qui fait que Dieu ne serait que la première âme, et les anges d'autres mecs comme ça, qui grâce à leurs super-pouvoirs d'Ame ont crées le paradis. Toutes les âmes, plutôt cools irait là-bas, puis celles qui ont bien déconnés, ou qui veulent régler quelques trucs, erre sur Terre. ) Bah oui, après ils allaient pourrir l'ambiance au paradis, c'est pas cool, surtout si ça dure aussi longtemps que l'éternité
Bon, comme vous l'avez constatez, ce ,'est pas très scientifique, mais au fond, pourquoi pas ?
Je suis Alexandra et vous lisez mon blog.
Bye
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