• Jour 1 : En une journée, près de 20 nouvelles visites sur ma pages, 5 mots doux, 15 charmes (demande de prise de contact).  J'ai conversé avec 4 personnes, répondus en tout à 6. Elles toutes mon abordées en premier. Certaines personnes étaient des charmes que j'avais accepté (sans prendre en compte mes critères personnels, mais l'intérêt qu'il représenterait pour l'étude), d'autres étaient des visiteurs de mon compte que j'ai ajouté à mon panier. Car sur se site, l'homme est produit, tout le langage mais aussi la "couleur" du site joue dessus.
     
    De ce premier jour d'expérience, j'ai appris quelques trucs:
    1) La photo compte peu. Malgré le fait que l'on aperçoit à peine mon visage, les
    charmes et les visites sont relativement nombreuses. Je pense donc que tout se joue principalement sur la localisation, mais surtout sur un remplissage très complet des rubriques.
    2) Les gens sont en général pas très doué pour introduire une conversation. Tout se joue sur la manière de saluer, le ton de la conversation est donné ainsi. Pour l'instant, seule 2 personnes se sont réellement donnés la peine 
    3) Il est important de lire le profil de la personne. On pourrait croire que les goûts écrits sur le profil ne sont là que pour faciliter les suggestions, mais pas seulement. Je crois bien avoir vexé l'un de mes sujets d'étude après lui avoir demandé qui était un chanteur dont il parlait dans sa fiche de personnalité.
     
    Bref, tout ça est très amusant mais j'ai peur de ne pas savoir comment synthétiser pertinemment tout ce que je vais apprendre...
    Well, on verra bien, au pire (ou au mieux) j'arrêterai l'étude

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  • -Pourquoi se site ? Je trouvais le nom rigolo
    -Pour qui ? Homme ou femme hétérosexuel(lle) (ou bi/pansexuel.lle cherchant une personne du sexe opposé)
     
    Jour 0 :  Création d'un profil complet avec des informations personnelles falsifiées afin de préserver ma vrai identité. Dans les 30 premières minutes, 15 hommes, majoritairement blanc, âgés en moyenne de 29 ans (sachant que sur mon profil j'ai mi avoir 20 ans) ont visité mon profil. Un d'entre eux, blanc, de 22 ans, m'a envoyé un charme. C'est à dire qu'il attire mon attention sur lui afin de commencer une conversation. J'accepte, il est 21h.
     
    Après une heure de création de profil, je reçoit au final 38 visites de profil, d'homme blanc en général, toujours en moyenne âgé de 29 ans. La plus part d'entre eux vivent à Paris, comme moi aussi (dans se contexte donc). La plus part d'entre eux se définissent peut. Ils sont majoritairement brun, 2 sont vegans, les autres mangent de tout, sont assez banales. Les plus jeunes se disent fêtard et sportif. 

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  •                                      Le féminisme et moi :

                        Une longue histoire d'amour

     

     J'ai 2 grandes passions dans la vie : les cookiesmoney et faire chier le monde. Et c'est certainement à cause de la 2ème, ou parce que je n'ai jamais vraiment aimé les rasoirs, que je suis devenue féministe. En plus, ça me permettait d'exprimer ma haine envers les hommeswinktongue.

    Maintenant que j'y pense, je n'ai jamais vraiment eu le choixsarcastic. Surtout en tant que fille. Etre antiféministe, voir m'en battre les ovaires de ne pas avoir les mêmes droits que mes homologues masculins, ça aurait eu autant de sens qu'être un mexicain votant Trumphe.                                                                                                                       

    Je crois que ma révolte d'hystérique frustrée a commencé bien avant que je connaisse le mot. Quand mon désordre maladif faisait mauvais genre "pour une fille"no, quand j'eus le droit à toutes les mises en gardes inimaginables contre le risque de me retrouver seul avec mes amis garçons à 9 ans ou encore quand, me plaignant, mon beau-père (cœur sur toikiss)  me rappelait en rigolant que si je vivais au Pakistan, j'aurais déjà été mariée de forcearf. (Alors t'es gentille, mais ta révolte de petite occidentale pourrie gâtée tu la gardes pour des sujets plus importants que 20% de salaires en moinserf).

    Toutes ces petites injustices, comportements inconscients d'une population qui au fond ne veut (peut-être) que mon bien,  piqûres de rappelles pour ne pas oublier qu'être une meuf ça craintaww s'accentuèrent avec la puberté.

    Je ne suis pas là pour raconter ma vie, (parce que j'ai autre choses à faire que jouer la youtubeuse lifestyleclown), mais pour dénoncer des agissements que vous, jeunes gens ouvert d'esprit et plein de fougues^^, avaient si longtemps assimilés comme normal ou "c'est bon, on a vu plus grave, arrête de faire chier et laisse-moi mater Koh-Lantah."

    Dénoncés tous les murmures en guises de réponses qu'on me donnaient lorsque mes jeunes lèvres imprudentesoops osaient posaient une question touchant à la féminité.                                         Dénoncés ce règlement scolaireouch qui m'interdisait de porter une jupe au-dessus du genoux parce que "c'est indécent".                           Dénoncés ces blagues orientées qui me rappelaient que Saint-Claudebeurk étaient une étape obligatoire pour une femme qui réussissait.

    En devenant féministecool, ou lorsque je me suis rapprochée de cette bande de "lesbiennes refoulées qui cherchent dans leurs féminités une raison d'exister", (pour citer mon poto Orelsansmile), je fit vite face à pas mal de tristes réalitéscry. Réalités qui se transformaient en colère irrépressible lorsqu'on me permettait de m'exprimer. 

    Mais comment pouvais-je rester calmemad lorsqu'un ignorant, non pardon, un jeune innocent qui passait trop de temps devant les Disneys, me lançais qu'on avait plus besoin du féminisme à notre époque ? Que toutes les inégalités avaient disparus ?

    Comment lui expliquer calmement que les femmes, qui représentent 51% de la population mondiale était certainement la majorité la plus minoritaire qu'il existe.                                                     Que leurs droits étaient bafoués sous prétexte qu'elles seraient plus utiles à enfanterfrown ? Que partout et non pas seulement dans le tiers-monde, 96% des victimes de viols étaient des femmes ? Que les mères de milliers d'entres elles cachaient sous des bandagesoh les seins de leurs filles pour qu'elles puissent continuer d'aller à l'école et ne sois pas mariés de force ? Qu'une femme battue de la bourgeoisie luxembourgeoise était autant victime que la petite fille de 8 ans exciséeaww ?

     J'ai du mal encore à comprendre que, face à des faits si concrets, certaines personnes pouvaient encore se dire contre les féministesouch. Pourquoi être contre des personnes (ce qui inclue femmes ET hommes, pas de dérogation messieurs) qui ne veulent que l'égalité shocked

    Oui, il y a encore beaucoup de "pourquoi ?", et, maintenant que je le relis, cet article pose beaucoup plus de questions qu'ils ne donnent de réponseoops.

    Non, je ne sais toujours pas quoi dire à cette société empêtrée dans sa culture du viol (voir un prochain article), à l'homme qui juge que si tu es une jeune parisienne tu n'as pas le droit d'être féministe, aux politiciensyes qui luttent contre le burkini mais "qui avaient piscines le jour de la loi sur le harcèlement" ou pire, qui participaient à cet harcèlementbad.

    Mais je suis persuadée d'une chose. Aujourd'hui comme hier, nous avons besoin du féminismehappy.                                                                 Nous avons besoin et nous devons arrêter de pointer de traiter cette idée telle une injure à tairesmile. Nous avons besoins de ces chiennes de gardeskiss, comme on aime à nous appeler amoureusement, pour lutter encore et encore contre des injustices bien trop banalisées. Nous avons besoins de ces chieuses, folles de rage lorsqu'une pubglasses avec une femme-objet paraît. Nous avons encore besoins de ces bourges asociales^^ qui sortent la bombe lacrymo quand on vient leurs adresser la paroles dans la rue, car leurs luttes, notre luttes va bien au-delà de la cause féminine.

    Cette lutte, c'est tout le combat d'une société, d'hommes, d'enfants et d'agenrés (wink2) c'est un hymne à l'humanisme et à la justice (je commence à partir un peu trop loin, non ?).                                         Cette lutte, qui ne demande qu'à s'achever, c'est une preuve encore qu'il faut continuer à avoir foi en l'humanité.                                  Cette lutte et les victoires qu'elle a engendrés, c'est la preuve que tout peut encore changer.

    Bon, maintenant je vous laisse, je dois aller émasculer les Illuminatis pour fonder une société reptilienne matriarcale.

    Je suis Alexandra et vous lisez mon blog.


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  •                                                    Nouvelles sur ma relation au                                                        végétarisme

    C'est rare n'est-ce pas ? Très rare, extrêment rare que j'écrive 2 articles sur le même sujet, (surtout que j'en ai un sur le féminisme qui attend depuis un mois d'être publiéoops), mais voyez-vous, je suis une passionnée investie et aujourd'hui, du moins, ces derniers temps, j'ai une nouvelle passion.

    Cet article n'est pas du tout construit, malgré tout, toi, lecteur affamé de ma verbe, de mon style incomparableintello et de mes fautes d'orthographes rivalisant d'ingéniosité et faisant un énorme "fuck" au bescherelle, j'aimerais que tu ne passes pas ton chemin, et surtout que tu ne m'en veuilles pas si ça part dans tous les sens.

    Depuis ma dernière analyse, au combien ratée, du végétarisme, beaucoup de chose ont changées. Si depuis, 5 minutes exactementarf, je ne trouvais pas mal de mangé des animaux, mon engagement c'est pas mal transformé.

    Depuis 2 mois, (et cette fois-ci sera définitive) je ne mange plus de poisson et de crustacés^^.(Rapport au fait que suffoquer pendant des heures avant de mourir, ou être cuit vivant c'est de la torturebad, si, je t'assure. Va demander à Amnesty International.) Et depuis 3 semaines, plus de produits laitiers.

    D'où vient ce profond changement me diras-tucool

    D'une vidéo.

    J'ai appris ce que je pensais savoir. Bien-sûr, il ne m'était pas inconnue de la situationbeurk dans 80% des élevages/abattoirs. Mais je ne pensais pas que l'horreur arrivait à ce point, et je ne peux évoquer ces faits sans avoir les larmes qui montent aux yeux et un profond dégoût pour ma personnecry.

    J'ai appris comment le lait été fait, c'est con, et affreusement honteux, mais pendant 15 ans je me suis bourrée la panse de fromage sans jamais me demander comment les vaches produisaient du lait 7j/7.                                   

    J'ai compris surtoutbiggrin. Compris pas mal de chose qui était incohérente avec ma manière habituel de penserfrown. Comment pouvais-je me révolter contre le spécisme profond de notre population et continuer à dire à qui voulait bien l'entendre "que je ne pense pas que manger un animal soit mal" no?

    J'ai compris il y a 5 minutesouch, pour cette dernière chose. Puisque depuis 3 semaines, je ne mangeais de la viande qu'une fois par semaine, plus si elle était bien abattue, me disant qu'ainsi, ma conscience serait soulagéeerf.

    J'ai compris il y a 5 minutes ce que je savais depuis si longtemps. Même élevé, abattue avec la plus grande douceur, voir leurs semblables disparaître du jour au lendemain, faits souffrir les animaux autant que cela nous l'aurait fait.   Comment réagisseriez-vous si votre sœur était tué dans à semi-consciente, devant vos yeux ?                                                                                                         (Fact intéressant : Saviez-vous que les vaches ont des meilleures amies ?). 

    Alors voilà, je continue, avec plus de détermination et les bons conseils de pas mal de genskiss, une transition que j'avais commencé, sans vraiment m'investir dans le plus important.

    Le plus important, à mes yeux, est de rester tolérant. yes                                         

    Rester tolérant fasse à ceux qui continue en âme et conscience de manger de la viandeaww, (après tout, le végétarisme n'est qu'une question d'éthique).             Rester tolérant fasse à ceux qui ne comprenne pas ou ne savent passmile. Ce n'est pas en leur gueulant à la fasse qu'ils sont des meurtriers, des esclavagistes etc... que la cause avancera. (Non Jihem Doeno, non, juste non. Arrête s'il te plaît.)                                                                                                                                     Expliquer, encore et encore, même si c'est fatiguantsarcastic, à l'ami vexée que, non, ce n'est pas parce que tu veux faire ton "occidentale alter-mondialiste gauchiste hipsterisé à la noixglasses" que tu refuses une part de son gâteau d'anniversaire.       Enoncer des faits, sans juger, en restant bienveillantmoney.

    Enfin, et surtout, toi mon copain omnivore, n'oublie pas qu'essayer d'imposer un mode de vie qu'ils ont maintenant réprouvés ne fera que les froisserarf.

    Sur ce, je vous dit à très bientôt,

    Je suis Alexandra et vous lisez mon blog.

    Bye


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  •                             La "glamouralisation" des troubles
     
     
    Salut ô toi lecteur assidu !
     
    J'aimerai parler aujourd'hui avec toi d'un sujet qui me tient vraiment à cœur, pourtant si peu évoqué en France.
     
    J'ai pris conscience de ce phénomène, de plus en plus présent, grâce une vidéo de l'Américaine Sarah Hawkison, dont je vous mettrais le lien si vous le souhaitez.
    Bien que très présent dans la communauté (particulièrement)  adolescente française, impossible de trouver la moindre chose à son sujet sur notre internet.arf
     
    La "glamourisation" (comme j'aime à l'appeler) des troubles mentaux se caractérise par la "coolitude" accordé à certaines maladies. La dépression devient artistique, l'anorexie une étape banale et logique, tandis que l'automutilation est un quelque chose d'obligatoire chez tout adolescent qui se respecte.aww
     
    Les personnes souffrant de maladies mentales on toujours fasciné (du moins c'est mon cas) et leurs représentations , plus ou moins correctes, dans le cinéma, les livres (etc...) n'ont jamais été rares. Pourquoi ont-elles alors pris une telle importance ?erf
     
    Tout d'abord, la disparition progressante du tabou dessus. Avec l'arrivée d'internet, la communication s'est faite plus facilesmile, parler de certains problèmes aussi (un inconnu ayant peu d'influence sur ta vie).
    De grandes figures se mirent à parler de leurs problèmes, les storytimes se multiplièrent, chacun voulant aider au mieux l'autrecool.
    Le tout partant d'une très bonne initiative et qui aide encore de nombreuses personnes^^, à cependant largement participé à l'expansion du phénomène dont je vous parle aujourd'hui. cry
    Celui cherchant encore à créer son identité voudra pouvoir se comparer à son idole, s'identifier aux mieux, se mettant ainsi, inconsciemment dans des états se voulant comparable à ceux dont il entend si souvent parlé.frown
     
    Ces confessions publics, de plus en plus nombreuses, peuvent aussi renvoyer l'image d'une étape obligatoire d'une adolescence "normale"ouch. Conformer à la norme est quelque chose d'important pour de nombreuses personnes. Avoir le dernier vêtement à la mode, faire semblant d'aimer un groupe à la mode, se vouloir dépressif, quel est la différence ?
    On prend pleinement conscience de ce phénomène lorsqu'on peut constater tout le merchandising créé autourbeurk.
     
    Le coup de grâcebad finit par être porté par ces personnages fictifs pourtant si inoffensif. Torturé, souffrant, ténébreux et surtout si cool, ils jonglent habilement avec leur(s) maladie(s leur bouffant la vie et un amour passionné, seul chose leur empêchant le suicide (salut Violet Harmon).  Ils deviennent alors qu'une figure de plus confortant dans l'idée qu'être malade, c'est styléintello.
     
    Le tout s’additionnant avec une totale méconnaissance des troubles psychiques finit par augmenter le nombre de personnes se faisant souffrir dans le but d'entrée dans une masse hors de la masseshocked (bonjour, je suis le paradoxe).
    C'est quelque chose, au fond, de très représentatif de notre société actuelle. Vouloir faire la différence tout en voulant absolument appartenir à un groupe, sans oublier sa singularité inexistanteno.
     
    Malgré tout, certaines maladies, pourtant mise à l'avant depuis très longtemps, reste trop extrêmes et encore trop inconnues pour être considérées comme trendy. La schizophrénie (qui est pourtant sur une bonne voix) et la bipolarité par exemple, encore trop effrayante.
    Que voulez-vous, même dans un monde où les "ringards" sont tendances, certains resteront toujours les brebis galeuses écartées par ceux qui se revendiquent compréhensif et so grunge you know (bonjour, je suis l'hipster lambda).
     
    Ces personnes, "créant" leur mal être peuvent finir, par auto-persuasion, par réellement souffrireek. Les aidés à relativiser leur problème, et les soutenir dans leurs quêtes d'un soi en accord avec ce qu'ils sont vraiment (du moins ce qu'ils semblent être réellement) et non pas ce qu'ils veulent être pour ressembler à un idéal fictif sera toujours plus efficace qu'un pur et simple dénigrementyes (les confortant dans la sensation de l'être incompris, ce qui est souvent le cas d'ailleurs).
     
    Une autre part, (et après je vous lâchesleep), de la "glamourisation" des troubles mentaux est le manque de légitimité que ressentent ceux souffrant réellement de dépression, anorexie (etc...). Pouvant penser qu'ils ne font qu'exagérer leurs problèmes, craignant le retour des autres si ils en parlent, reniant son mal être pour ne pas être comme ceux suivant une tendance et bien plus encore.
     
    Le plus important, si je peux me permettre de vous donnez des conseils en conclusion, est de parlerhappy.
    Parler et soutenir un ami qui va mal, que son problème vous semble fondé ou non (n'oubliez jamais de ne pas totalement vous fier à ce que la personne laisse paraître), demander si vous allez mal (même si je suis bien placé pour savoir que ce n'est pas facileoops).
    Ne gardez jamais tout enfoui en vous. Les problèmes finissent par vous ronger jusqu'à ce que vous ne soyez plus qu'une coquille vide. Si vous n'avez personne envers qui vous tournez je vous met le lien du site de l'association SOS Amitié, des gens très sympasyes et fournissant d'excellent conseil pour aider à vous sentir mieux (et non, ce n'est pas pitoyable comme on peut le pensersarcastic) : https://www.sos-amitie.com/lite-des-postes-d-ecoute
     
    Sur ce, je vous donne plein d'amour
    Je suis Alexandra et vous lisez mon blog.
    Bye
     
     
     
     
     
    Ps : Aucun rapport, mais j'ai réaliséla bannièree d'un blog venant d'ouvrir, et je ne suis pas peu fière de moi biggrin. J'vous met le lier, et à bientôt : http://leblogdenobody.over-blog.com/

     


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